Vous avez vu ces émeutes pour acheter du Nutella© ?

ça me fait tellement marrer, les gens sont magiques <3

Te reste une place dans ta cabane Birdish ?

Est-ce que j'ai une foudre en main ou une montagne, hein hein, difficile à dire mouahahaha.

Je mettrai bien un :vallsueur: mais personne ne comprendrait la blague.

Valls est hexproof de facto et plus personne ne le considère comme une cible valide (pitié/mépris/random autre raison) ?

et=car

C'est pas pour se foutre de Valls, c'est juste que l'image est en adéquation avec la situation.

Je dis pas que c'est pas naturel.
Au même titre que pour quelqu'un qui éternue, on est en droit de penser qu'il est malade, on est en droit de penser que quelqu'un de colérique n'est pas heureux.

On est pas moins en droit de penser qu'être heureux est synonyme d'être ignorant, désinvolte, égoïste, voire carrément méchant à un degré ou à un autre.

Il y a plusieurs types d'énervements qui m'exaspère :
- Il y a ceux qui ne sont pas dirigés vers les causes. Par exemple le fait d'insulter quelqu'un au volant mais le mec t'entends pas, c'est juste tes passagers qui en profite.
- Il y a ceux qui sont juste totalement inutile. Le genre Don Quichotte. Le mec qui va râler après la météo...
- Il y a ceux qui sont dirigés vers des causes qui n'ont pourtant pas d'incidence sur soit. Par exemple le fait que des étrangers s'arrache des pots de Nutella.

Si c'est juste une mésentente et que tu vas protester sous la forme d'un débat là c'est parfait ce n'est pas un énervement.
Ce que j'appelle énervement c'est bien le sentiment qui a un affecte sur ta perception des choses. Une personne énervée a du mal à se concentrer, n'a pas les idées claires et donc n'est finalement souvent pas apte à gérer le problème auquel elle est confronté.

Non la ça n'a rien à voir. Rien ne te permet d'affirmer que heureux est synonyme de quoi que ce soit et ce n'est pas ce que je fais. Je remarque simplement une corrélation.

En ce qui me concerne je suis heureux en apprenant, en enseignant ce que je sais et je suis réputé gentil. Ca rentre assez en contradiction avec ce que tu dis quoi que je reconnais volontier ma désinvolture.

Ou alors on a pas la même définition du bonheur ou de son champ d'application nécessaire.

En ce qui me concerne (et pas que moi), la notion de bonheur n'est acceptable que si elle est non seulement partagée, mais universelle. Sans quoi elle n'est rien de plus qu'un des innombrables avatars de l'égocentrisme et de ses dérives.

Si je comprends bien on ne peut être heureux que grâce au regard des autres, qui nous renverrait leur gratitude, respect, compliment etc... ?
Si c'est le cas, il me semble que du coup s’énerver a peu de chances d'engendrer du bonheur non ?

Tu parlais du passif agressif tout à l'heure. Je n'ai pas dit que les agressif devaient être passif pour accéder au bonheur. Je dis que ces gens ont par nature une moins bonne propension à être heureux que les autres.

Certainement par effet miroir puisque ça serait une autre forme d'hubris, mais par simple altruisme et sens de l'équité.

En ce qui concerne les manifestations comme l'énervement ou le calme : choisir une manifestation plutôt qu'une autre ne change absolument rien au postulat de départ (frustration/volonté de progrès) et à l'obligatoire sentiment de malheur associé.



Mon sentiment est très nettement inverse : plus j'apprends, plus j'ai envie de filer des claques au gros con de demiurge à l'origine de toutes les putains d'iniquités du cosmos. Et comme il existe même cas j'ai encore plus les crocs !

certainement pas par effet miroir*

Donc pour toi une personne isolée ne sera jamais heureuse ?



Je pense que seuls les éléments sur lesquels je peux avoir une influence ont un affecte sur moi.

Ce que je veux dire c'est que j'ai tendance à prendre le monde qui m'entoure comme il est sans jugement de valeur (aucun regard positif ou négatif sur lui).
Je ne ressent pas de frustration face à quelque chose qui me dépasse, on pourrait dire que je suis pragmatique.
Je ne ressent de volonté de progrès que si je suis dans mon champ des possibles, et donc j'ai tendance à agir uniquement lorsque je me sens suffisamment qualifié pour le faire.

Ainsi les injustices de ce monde ne me touche pas vraiment car moi même je ne peux pas changer ces injustices. C'est certainement cela qui fait que pour moi apprendre est un plaisir et pas pour toi Birdish.

Houla, si on s'embourbe dans des trucs nébuleux et arbitraires comme le champ de possibles, on est pas rendus.

Sinon, je ne vois pas vraiment comment on peu considérer un axe bonheur-malheur comme autre chose qu'un ensemble de composantes dont la somme est nulle. Sauf à être mega-subjectif.

Objectivement, soit on connaît tous une somme donnée de bonheur et autant de malheur, soit on s'affranchit des notions de bonheur et de malheur en même temps puisque l'une ne peut pas aller sans l'autre.

De toutes façons, tout est hormonal : la faim, la peur ou la fatigue sont des stimuli négatifs fondamentaux, autant de malheurs essentiels parmi d'autres. Les bonheurs opposés ne sont que des contreparties, ne pouvant exister sans leur origine, et éventuellement renforcées positivement par des shoots de dope bio déclinés en variantes plus ou moins stimulantes et compliquées.

Ah putain j'ai loupé l'essentiel :
1) dont la somme est au mieux nulle.
2) une somme donnée de malheur et au mieux autant de bonheur.

Donc tu penses
- qu'une société heureuse ça n'existe pas ?
- que le malheur est nécessaire au bonheur et que par conséquent qu'une utopie (société parfaite) est utopique (irréalisable) ?
- qu'un couple ne peux être heureux que parce qu'il y a des couples ou des célibataires malheureux ?

Je pense que bonheur malheur est plutôt comme une jauge en chacun de nous qui peut être en position haute ou basse. Bien sur je pense qu'elles sont dépendantes des autres comme toi mais pas comme un système à somme nulle. Je pense que plein de paramètres peuvent influencer sur le bonheur mais j'ai plutôt tendance que quelqu'un entouré de gens heureux aura tendance à l'être aussi et inversement. Du coup plutôt le contraire même d'une somme nulle.

c'est logique, sans l'existence du malheur le mot bonheur serait vide de sens
ya pas de lumière sans ombre etc etc..

Il t'a fallut combien de bouteilles pour pondre ça ?